Chapelle de Saint Egarec
Historique
Elle date du 15ème siècle.
Construite par les seigneurs de Coëtmenech, cet édifice devient en 1777 propriété de l’Abbé Barbier de Lescoat, évêque de Léon. Lors de la révolution, elle fut vendue comme bien national.
Malheureusement, lors d’un orage, le clocher fut détruit par la foudre le 13 janvier 1917. Depuis 1926, la chapelle n’est plus surmontée que d’une croix.
Intérêts
Il semblerait que l’édifice, à l’origine, ait été plus long qu’actuellement si l’on se réfère aux pierres de soubassement présentes à proximité de la porte centrale.
Sur cette même façade, on observe un blason de la famille Rosmadec de Cléder, famille qui aurait fait construire cette chapelle.
A l’intérieur, sur l’autel en granit, est gravé un blason qui se retrouve également sur la pierre tombale de l’aile gauche de la chapelle. Cette tombe serait celle du Seigneur Kersaint Gilly du Manoir de Kérivoas. Le mobilier reste limité. A part, le tabernacle niché dans le mur, à droite du chœur. Depuis 2005, le Pardon (qui avait lieu auparavant au moment de la Trinité, fin mai), est célébré début juillet.
La fontaine
La fontaine, en granit, est surmontée d’une statue en kersanton de Saint Hervé et de son loup. Celle-ci provient du presbytère de Kerlouan.
Un escalier en pierre mène à l’eau. A gauche de l’escalier, une ouverture dans le mur. Celle-ci pourrait être l’entrée d’un souterrain menant au manoir de Kérivoas.
La fontaine Saint Egarec est classée comme une des fontaines miraculeuses de Bretagne pour les maux d’oreilles et de la vue.
On raconte...
Un paysan du quartier aurait voulu détruire la fontaine pour agrandir son champ. Dès qu’il commença les travaux, il devint aveugle et sourd.
Il ne recouvrit ses 2 sens que lorsqu’il remis la fontaine en l’état.
Et encore...
Saint Egarec était invoqué comme guérisseur des maux d’oreilles. Il fallait soit placer son oreille sur la pierre tombale, soit tremper une pièce d’argent dans un vase d’huile bénite ou dans la fontaine souterraine. Ensuite cette pièce devait être appliquée sur la partie malade. Pour obtenir une meilleure efficacité, il était conseillé de laisser la pièce sur l’autel de la chapelle… !
Chapelle de Saint Guénal
Historique
Cette chapelle dédiée à Saint Guénal, Patron des bouchers fut construite vers 1521. A l’époque, elle faisait partie d’un vaste domaine qui regroupait les hameaux voisins. Elle était alors très fréquentée et un Pardon y était célébré chaque Mardi-Gras pour fêter Saint Guénal : les habitants des hameaux voisins apportaient en offrande un morceau de lard qui était ensuite vendu aux enchères car le lard était en ces temps là, la viande principale des paysans.
Mais, au fil du temps, cette chapelle fut de plus en plus délaissée. Les traditions ainsi que les cérémonies se perdirent peu à peu et le coût de l’entretien devint trop élevé.
Dans la 2ème moitié du 19ème siècle, un incendie causé par une bougie qu’une jeune fille allumait tous les soirs, détruisit la charpente.L’édifice perdit sa toiture, ses pierres furent dispersées et son autel fût cédé à la paroisse de Lilia. A la fin des années 1980, la chapelle appartenant à une famille de Kerlouan, n’était qu’un tas de pierres envahi par les ronces.
Dès 1986, l’Association « Environnement et Patrimoine » entreprit alors de restaurer l’extérieur, qui d’après le cadastre du 19ème siècle aurait été plus importante qu’aujourd’hui. La chapelle, alors restaurée fut inaugurée en juillet 1990.
Vide de tout mobilier, l’intérieur ne présente aucun intérêt.
On raconte...
Il n’y a pas si longtemps, on trouva dans la chapelle, une feuille de liseron sur laquelle un ver en cheminant avait laissé des traces très visibles semblant représenter une Jeanne d’Arc à cheval ! Ce phénomène fut considéré comme miraculeux et on vint de très loin pour observer cette feuille.
Comme beaucoup de communes en Bretagne, Kerlouan possédait beaucoup de chapelles, aujourd’hui disparues. Certaines ont laissé des traces dans le sol, mais d’autres n’existent plus, mais nos aînés s’en souviennent.
La chapelle st St Gwenal se situe tout près du quartier de Lestonquet. Elle est dédiée à Saint Guénal.
En 1986, elle était encore à l’abandon, n’ayant plus de toit, le dessus de la porte et son clocheton avait disparu ainsi que le sommet du pignon percé d’un vitrail. La végétation dense poussait librement à l’intérieur qui servait depuis longtemps de dépotoir.
La famille Cavarec se trouve propriétaire de ces ruines : elle habite tout près, dans une maison construite dans les débuts de ce siècle sur l’emplacement d’un petit manoir dont on a trouvé une pierre portant gravée l’inscription suivante : « A.B.A.S.Q. – 1521 » : peut être est-ce aussi l’époque où fut construite la chapelle voisine. Celle-ci fut, paraît-il très fréquentée au temps où elle faisait partie d’un vaste domaine, au XVème ou XVI ème siècle qui regroupait les quartiers actuels de Lestonquet, Kersenval et Lezerider. Certains prétendent même que ce domaine comprenait également « La Seigneurie de Lescounoc » en Plounéour-Trez.
Un grand pardon avait alors lieu, chaque année, le jour du mardi-gras, ce qui n’était pas un hasard car Gwenal passait pour être le Saint-Patron des bouchers, et ce jour là, tous les habitants des quartiers voisins, et même delà, venaient à la Chapelle, apportant en offrande, chacun un morceau de lard qui était ensuite vendu aux enchères, car le lard était en ses temps-là, la viande principale des paysans. Tout cela donnait lieu à une fête très appréciée.
La Chapelle primitive était plus importante que ne le laisse voir les murs actuels et comme l’indique le cadastre du XIXème siècle.
L’état dans lequel se trouvait encore en 1986 cette chapelle provient de plusieurs causes :
– Abandon progressif et quasi général dans toute la France, des traditions et de la désaffection des cérémonies religieuses en dehors des églises paroissiales,
– Coût élève de l’entretien des bâtiments si bien que l’on délaisse souvent ceux qui e sont pas à usage professionnel,
– Un incendie a ravagé ce petit édifice vers 1890-1900.
En effet, un voisin habitant à Kerzenval, tient de son père qui est né en 1881, qu’une jeune fille qui vivait chez ses parents non loin de la chapelle, dans une chaumière actuellement disparue, venant chaque jour faire des dévotions dans la Chapelle et allumait une bougie au pied de la statue en bois de St Guenal, lorsqu’un jour une bougie s’est renversée et a mis le feu à la statue ; puis le feu s’est communiqué à la toiture. Chacun sait que tout le bâtiment sans toiture est voué rapidement à la destruction des murs par les intempéries et aussi par la disparition des pierres utilisables et qui se retrouvent dispersées un peu partout. C’est bien ce qui s’est passé ici. Et en outre, durant la guerre de 1939-1945, des soldats allemands utilisèrent quelques pierres pour la construction de blockhaus.
Et c’est ainsi que , comme beaucoup d’autres chapelles, la Chapelle e St Guenal allait progressivement disparaître du paysage léonard, la pierre d’autel ayant en outre été cédée pour l’Eglise de Lilia, lorsque…
Lorsque, en 1986, la jeune et dynamique association « Environnement et Patrimoine » qui venait de se constituer à Kerlouan, décide comme l’un de ses premiers objectifs et sous l’impulsion de son président-fondateur de faire toutes les démarches, d’une part, auprès de tous les organismes officiels et privés pour obtenir des subventions ou dons, afin de faire restaurer cette chapelle et lui donner tout son lustre. Ce ne fut pas toujours facile de régler le problème financier qui ne fut résolu qu’après de longues démarches, souvent vaines, mais en fin de compte, le budget suffisant pour permettre à l’association de faire entreprendre des travaux.
Le 8 juillet 1990, l’association « Environnement et patrimoine » et la famille Cavarec ont eu la grande satisfaction d’inaugurer la chapelle St Guenal restaurée, en compagnie des personnalités civiles et religieuses du pays, des habitants des quartiers voisins de Kerzenval, Crémiou, Lestonquet, Rohou, etc… et d’autres habitants de Kerlouan.
Il est maintenant possible à tous de réaliser qu’une petite chapelle revit, c’est tout un quartier, c’est même tout un pays qui retrouve son âme, qu’une chapelle c’est aussi un lieu de rencontre pour diverses manifestations publiques et privées, mais c’est encore un retour aux traditions ancestrales car le jour d’un pardon, c’est de nouveau la fête au village.
Avec ses pierres dorées par le lichens, son petit clocheton, la cloche sauvée un jour d’un bateau naufragé sur la côte, tout cela donne un charme discret à cette chapelle qui a retrouvé tout son cadre avec sa nouvelle pierre d’autel, sa stèle remise à sa place et qui rappelle un culte plus ancien. Mais il lui marque encore son if et son muret que l’on aimerait franchir, comme autrefois, par un escalier, une pierre posée verticalement sur une ou deux marches, il lui manque encore son placître…
Sans doute, cette chapelle a-t-elle dû servir de lieu où l’on enterrait les morts du voisinage . Nul ne le sait, mais ce que l’on sait, c’est que jadis un prêtre du nom de LE GALL y fut enterré, vers 1620, près de l’autel où se trouvait sa pierre tombale, et en procédant en 1986 au déblaiement de la chapelle, des membres de l’association ont déterré une rotule de genou, pieusement conservée.
La Chapelle de St Guenal est devenue l’un des plus beau fleurons du patrimoine kerlouanais.
Mais qui est ce Saint Guenal qui a donné son nom à la Chapelle ?
Il est connu et honoré ailleurs qu’à Kerlouzn et souvent sous d’autres noms :
Ainsi à l’église de Bolazec sous le nom de Guenael ou Gwenael
En Caudan (Morbihan) de Locunel
A Eliant, de Guinal
A Ergue-Gaberic de Guinal
A Landivisiau, de Guenal ou Venal
En Loperhet de Kenal
A Mauron (Morbihan) en Guinel
En Plomeur (Morh=biahn) de Guenal
A Plouénna de Guenal
A Plougonvelin de Guenal
A Poullaouen de guenal ou Veinnel
A St Pol de Léon de Venal
A Quimper (au Moulin Vert) de Guenal
Son véritable nom serait « Gwenael » qui vient de étymologiquement des formes anciennes de Vuinhael, Guenhael, Guiheal, nom composé de « Gwen » (Blanc heureux) et de « Hael » (généreux)
Son père serait un certain ROMEL (ou Romulus) à qui on prête un souche nombreuse de Saints, et entre autres descendants, Saint Cado, son petit-fils par sa fille aînée qui avait épousé Gundle.
La Légende fait naître GUENAL au début du VIème siècle à Quimper. Et voici comment, dans son livre « Bretagne des Saints », Florian LE ROY raconte la première rencontre du jeune GUENAL et de St Guenoel, le créateur de l’Abbaye de Landevennec : Guenole venait de séjourner à la cour du roi GRADLON, quand dans une rue de QUIMPER il est surpris de voir un jeune garçon abandonner ses compagnons de jeu pour s’agenouiller devant lui. GUENOLE, après un silence le regarde au visage : « Mon fils, voulez-vous venir dans notre monastère servir Dieu ? «
– C’est tout mon souhait . Je veux passer ma vie au service de Dieu , sous votre règle et discipline « .
L’enfant essayait déjà de se mettre au pas de l’abbé, mais celui-ci satisfait de l’épreuve, lui tapote la joue : « Bon… Bon… retournez maintenant chez vos parents, car le chemin est long d’ici au monastère pour vos petites jambes » .
Le gamin ne l’entendait pas de cette oreille. Il s’obstina, trottina jusqu’à LANDEVENNEC d’où , du consentement de son père il ne sortit plus. Il s’appelait GUENAEL, fils du Comte ROMULUS, un des gentilshommes de la Cour.
La mort de St GUENOLE avait été digne de la fresque : si las , si vieux, il souhaitait lui-même que son âme se détacha de son corps. Une nuit qu’il méditait à l’église sur la Passion du Seigneur, le vaisseau s’éclaira comme en plein midi, et un ange vint avertir l’Abbé que Dieu l’appellerait à lui le lendemain. A l’aube il rassemble , ravi , tous les religieux pour leur donner ses suprêmes recommandations et désigner son successeur, son disciple le plus cher, son imitateur, GUENAEL, dont , après avoir célébré pontificalement la messe et communié ses frères, il tint à recevoir l’extrême-onction avant d’expirer sur les degrés mêmes de l’autel, dans une vision des cohortes angéliques. «
La légende dit que, comme beaucoup de moines de cette époque, GUENAL préféra se retirer dans la solitude, après avoir été un certain temps l’Abbé Directeur de l’Abbaye de LANDEVENNEC, et il s’établit à l’Ile de GROIX où il devait décéder vers 585-590 .
Lorsque les Normands envahirent tout l’ouest de la Gaulle, en 919-920, d’après les Annales de l’Abbaye de REDON : « les Bretons étant les uns et les autres soit tués, soit chassés, alors des corps Saints qui étaient en Bretagne, furent emportés dans différentes régions ».
Et dans leur livre: « La Bretagne des Saints et des Rois du V° au X° siècle », André CHEDEVILLE et Hubert Guillotel précisent : »C’est dans ce contexte de violences, de luttes, que s’est déroulé l’exode de l’élite bretonne. L’ensemble du royaume fut alors saisi par un courant de panique générale. Ce fut d’un monastère qui devait *être situé en Vannetais que provenaient les reliques de Saint GUENAUD ou GUENAL, qui furent abritées au début du X° siècle par THION , le Vicomte de PARIS, dans son domaine de Courcouronne, près de CORBEIL, puis portées dans cette ville ».
Nul ne sait ce que sont devenues les reliques de ST-GUENAL….
Le sentiment d’affection pour ce Saint était resté encore vif au début du XX° siècle, malgré l’état de délabrement de sa chapelle, et un habitant du quartier se souvient parfaitement qu’étant enfant, il venait, suivant la coutume, allumer une bougie dans la chapelle ., pour favoriser une heureuse délivrance chaque fois qu’une truie allait mettre bas : Est-ce parce que le mot de « Genel, voisin de « Kenal » , signifie « naître » , c’est à dire , venir au monde ?
Ce lieu , comme tous les lieux considérés comme sacrés , favorisait toute manifestation bizarre à être considérée comme miraculeuse, et c’est ainsi que dans les années 1940, on découvrit un jour dans la chapelle une feuille de liseron sur laquelle un ver, en cheminant, avait laissé des traces très visibles dessinant comme une Jeanne d’Arc sur son cheval . La feuille fut conservée pieusement, et pendant longtemps on vint , parfois mème de très loin, contempler ce phénomène. Mais à la longue, la feuille avec ses effets miraculeux s’est desséchée et a fini par perdre tout, son intérêt.
D’autre part, chaque Saint ayant des dons, on prête à St GUENAL d’avoir séjourné le long de la côte KERLOUAN où vivait un dragon,’ et le Saint l’en avait chassé un jour après lui avoir imposé les mains en murmurant : Kerz ac’ha leac.’h ze ta anneval » que l’on peut traduire en français par « va-t-en de ce lieu, toi , animal ». D’où serait dérivé le nom du quartier de KERZENVAL (anneval = Kerzenvel)
Chapelle de Saint Sauveur
Historique
La chapelle Saint Sauveur ou de Kersalvator est un petit édifice de forme rectangulaire.
A l’origine une chapelle plus ancienne était située près des 2 fontaines. Cette première construction plus ancienne que le calvaire daterait d’avant 1477 : elle aurait été vendue pendant la Révolution et probablement détruite à cette période.
L’actuelle chapelle a été construite par un jeune Kerlouanais et date de 1863. Monsieur OLLIVIER avait promis de faire reconstruire l’ancienne chapelle s’il avait la chance d’être exempté du service militaire (qui à l’époque durait 7 ans). Ayant eu satisfaction, il décida de bâtir la chapelle actuelle sur un terrain communal situé à proximité. Refusant d’affecter l’argent aux travaux de l’église saint Brévalaire, alors en construction, Monsieur OLLIVIER vit sa chapelle ignorée par l’Eglise. Elle ne fut jamais bénite par un prêtre, il n’y eut jamais de messe et la chapelle fut rapidement laissée à l’abandon.
Cet édifice fut rénové, en 1976, par les habitants du hameau, encouragés par l’Abbé Vergos, recteur de la paroisse à l’époq
Intérêts
La chapelle ressemble à la chapelle Saint-Guénal : elle possède son clocheton et les murs sont en granit.
En façade :
un bénitier encastré dans le mur provenant de la chapelle d’origine.
Sur une pierre de la façade : un blason sur lequel est gravé une tête de cerf : blason de la famille De Poulpry, ancien seigneur de Lavengat en Guissény.
Une gravure est visible sur le linteau de la porte dont la signification est encore inconnue.
A l’intérieur :
un autel en granit
des statuettes : une Sainte Trinité en pierre, un Ecce Homo en bois et une statuette de la Sainte Vierge en bois.
sur le sol : le monogramme du Christ : IHS (Jésus Hominum Salvator) = Jésus Sauveur des Hommes
Le pardon de Saint Sauveur était célébré le dernier dimanche d’août
Le calvaire
Edifié en 1547. Du socle octogonal se dresse un fût rond, surmonté d’une croix biface très rare dans la région, portant 6 personnages en kersanton :
Devant :
Saint-Brévalaire , Le Père, La Vierge , le patron de la paroisse de la bouche duquel sort une colombe
Derrière :
Saint-Pierre , Le Christ, le Bon Larron
Les 2 fontaines
Proviennent de 2 sources différentes
La fontaine sacrée, restaurée en 1992 par l’Association « Environnement et Patrimoine ». Il paraîtrait qu’elle soit dotée de vertus médicinales : elle guérissait les bronches des enfants dont on avait trempé le linge de corps (brassière, bonnet ) dans ses eaux : si les vêtements flottaient, l’enfant aillait guérir, si non … !
La fontaine sous cavité rocheuse est la plus ancienne
Chapelle du Croazou
Historique
La chapelle du Croazou (c’est-à-dire « des croix ») est la plus petite du Finistère, elle date de 1832.
Elle fut construite par François PONT, un habitant du quartier après qu’il eut miraculeusement recouvré la vue. François PONT, aveugle à la suite d’une variole venait régulièrement prier à cet endroit où il y avait déjà eu une chapelle.
On y célébrait, à l’origine, la Sainte Vierge. Depuis 1877, on y honore aussi Sainte Anne notamment lors du pardon et des processions qui se déroulent le 15 août.
Intérêts
A l’arrière de l’édifice se trouvent :
- une stèle gauloise encastrée dans l’angle droit
- 3 croix pattées datant du Moyen-Age. Elles se trouvent à leur emplacement d’origine. Elles reposent sur un lech (menhir taillé) couché.
- A côté, 4 autres croix (provenant de différents lieux dits de la commune). Elles ont été déposées là par le vicaire de la paroisse en 1970.
A l’intérieur :
Une statue de Sainte Anne en granit de Kersanton datant de 1565.
Sous l’autel, on remarque les vestiges d’une Pieta